L’écrivain François Bégaudeau donne des conseils aux « écrivants ». Il les encourage à écrire si c’est ce qu’ils désirent vraiment. Mais selon lui, l’écriture doit rester une source de plaisir et non pas une source de larmes…
L’écrivain François Bégaudeau donne des conseils aux « écrivants ». Il les encourage à écrire si c’est ce qu’ils désirent vraiment. Mais selon lui, l’écriture doit rester une source de plaisir et non pas une source de larmes…
Monsieur Begaudeau a un point de vue, je le reconnais réaliste sur l’édition aujourd’hui, mais pour le moins démoralisant pour les gens qui écrivent qu’ils aient le désir d’être publiés ou non. ainsi as-t-il le sentiment de se préserver contre la concurrence…Certes tout le monde ne peut pas être un grand auteur, d’ailleurs lui-même en est-il un ? il a la chance par contre, d’être publié et oublie que pour l’être, il faut des lecteurs ! les mépriser n’est pas correct. en effet mon point de vue est que : pour écrire il faut aussi beaucoup lire que ce soit Begaudeau ou un autre, et par conséquent nous sommes en quelque sorte son fond de commerce. il doit aussi accepter que de temps en temps des auteurs méconnus fassent surface un jour ou l’autre.
Très intéressant et emprunt de sagesse, merci beaucoup Monsieur Begaudeau et « envied’écrire » 🙂
Excellent propos d’un type que je découvre sous un autre regard, lui qui me semblait, disons, prétentieux à la télé, et dont la prétention me semble soudainement acceptable puisqu’elle est nécessaire pour devenir écrivain ! J’ai déjà entendu le même point de vue ailleurs, par des écrivains de talent, il faut donc croire que cette réalité existe, comme dans tous les milieux liés à la culture. La littérature est aussi un bizness, rien de nouveau là dedans. Et je ne crois pas aux talents méconnus, alors que je crois aux non talents reconnus, même si pour vendre comme Levy ou Musso, il en faut, peut être pas dans l’écriture (style) mais dans la façon (marketing) de « de dire les choses » aux plus grand nombre de consommateur (trices) de livres… C’est aussi une forme de talent que celui de réussir dans les affaires…
Très intéressant comme point de vue. Je pense moi aussi qu’il ne faut pas se fourvoyer, être publié est bien compliqué. Par contre, écrire est à la portée de tous et être lu également, tout au moins par son entourage ! De toute façon, on a toujours l’espoir d’être publié un jour…
Par contre, l’idée qu »il faut être un peu orgueilleux pour écrire est assez originale et me laisse pensive…
Il a trop raison 😉