De plus en plus d’outils sont mis à disposition des auteurs pour leur permettre de s’auto-éditer. La plateforme Amazon Kindle est choisie par de nombreux auteurs indépendants pour proposer leurs oeuvres au public. Ultime recours ou premier pas vers la publication papier ?
Le Kindle d’Amazon proposait dès son lancement en octobre 2011 plus de 825 000 ebooks, dont 35 000 en français et il vise à sans cesse enrichir son catalogue. D’où l’intérêt de sa plateforme d’auto-édition, qui permet aux écrivains indépendants de mettre leurs oeuvres à disposition du public tout en touchant 70% des droits d’auteurs.
Red Staple concurrence iBooks Author
Le site USA Today, explique qu’il est de plus en plus facile de s’auto-éditer grâce à cette plateforme, mais également grâce à des outils qui viennent perfectionner la création d’ebooks. Le site anglophone Red Staple, par exemple, lancé en janvier 2012, permet la création de chapitres, d’une couverture et des options de mises en pages avancées. Il n’égale pas l’application apple iBooks Author mais est simple d’utilisation et moins cher. Ainsi pour éditer un livre de moins de 500 pages à proposer à toutes les plateformes, il vous en coûtera 29 $ (22 €). Dans le même ordre de prix, Folium Book Studio permet lui aussi, la conversion en différents formats, la mise en page avancée, le design d’une couverture et la publication sur différentes plateformes tels qu’Amazon Kindle, Apple eBooks, Noble Nook…
Des auteurs se lancent donc dans l’aventure et certains arrivent à en vivre, parfois confortablement. USA Today est par exemple parti à la rencontre de Virna De Paul, auteure de romances à suspense, qui affirme toucher 2 000 $ (1 540 €) par mois en royalties.
Amanda Hocking dit non à Amazon
La publication d’un livre papier reste cependant pour tout auteur un aboutissement, une concrétisation et nombreux sont ceux à ne pas se satisfaire d’une publication numérique. Amanda Hocking elle-même, qui a pourtant engrangé des millions grâce à ses ventes sur le Kindle d’Amazon (voir notre article) a signé un contrat d’ un million de dollars (plus de 760 000 €) avec St Martin’s Press. Elle s’est même payé le luxe de dire non à Amazon, qui lui avait proposé de publier quatre de ses romans en version papier estimant qu’Amazon possède peu d’influence pour placer ses livres en librairie. Pour autant, Amanda Hocking confie au site Futurebook ne pas abandonner l’auto-édition définitivement.
J’ai du mal à comprendre en quoi un logiciel qui demande 29$ pour monter un livre est moins cher qu’un logiciel gratuit.
effectivement ça devient de plus en plus simple de publier ! pour ceux qui veulent se savoir d’avantage : http://www.economienouvelle.fr/comment-autopublier-son-livre-kindle-direct-publishing-amazon/
Savez vous qu il est impossible d acheter un livre au format kindle sur amazon.fr ou .com depuis toutes les îles de l océan indien l Asie et l Australie soit la moitié de la planète et la plus peuple
Amazon a dissimulé cette faille à tout le monde
Un réunionnais furieux de ne pouvoir utilisé son cadeau de Noël
Bonjour Jean- Marc.
« Un réunionnais furieux de ne pouvoir utiliser son cadeau de Noël »
Je suis choqué et étonné .. As-tu essaye de contacter Amazon pour avoir des précisions?
Dans l’attente je suis prêt à chercher une solution pour te dépanner (Par l’intermédiaire d’un proxy.ou quelque chose d’approchant. J’ai un ami Suisse qui ne pouvait commander certaines choses en France et qui peut le faire maintenant grâce à un relais informatique.
Je te souhaite uen excellente journée.
Xavier