Vous avez reçu une lettre de refus de la part d’un éditeur après lui avoir envoyé votre manuscrit ? Cet événement n’est jamais simple à surmonter. Courage, ce n’est qu’une mauvaise passe ! Voici 8 conseils pour vous aider à garder le moral.
1. Faites le tri dans vos émotions
Après un refus, il est normal d’avoir le moral au plus bas. Mettre sa volonté de côté peut être tentant. Vous avez le droit de vous poser, et d’être triste. Donnez vous un laps de temps où vous vous autorisez à être malheureux, puis rappelez vous que c’est un simple refus, pas une condamnation à vie. Écrivez vos sentiments, parlez en à des proches, recentrez vous sur vous-même, mangez une glace, faites de la boxe, défoulez vous. Ressaisissez vous et allez de l’avant !
2. Les lettres de refus sont monnaie courante
Ne vous attardez pas sur ce point, sachez juste que cela arrive. Et souvent. C’est une facette de votre vie d’auteur : acceptez-la !
3. Ne perdez pas confiance
Certes votre manuscrit a été refusé, mais votre manuscrit ce n’est pas vous ! Tout comme un enfant n’est pas la mauvaise note qu’il a obtenue à un devoir. En tant qu’auteur, vous parcourez une route chaotique, et c’est bien normal. Croyez en vous, travaillez et vous réussirez à passer les obstacles.
4. Prenez-le comme un défi
Le message que vous envoie l’éditeur est clair : votre manuscrit possède peut-être certaines qualités, mais il doit être retravaillé. Pour cela, il faut que vous compreniez bien quels sont les points forts et les points faibles de votre texte. Vous pouvez demander l’avis de professionnels qui vous donneront des pistes de retravail et vous aideront à améliorer votre manuscrit.
5. Ne perdez pas votre rêve de vue
Rêver de littérature est probablement ce qui vous a poussé dans l’écriture. Parce que sans rêve, vous n’avez pas de base pour travailler. Il est important d’en rêver souvent, pour garder intacte votre volonté de le réaliser.
6. Revenez à l’écriture
Ne laissez pas une lettre de refus vous ralentir. Une fois la déception passée, revenez à ce que vous aimez vraiment : écrire. Obligez votre esprit à fournir un travail encore meilleur.
7. Le refus vient d’une seule personne
N’oubliez pas que les goûts littéraires sont subjectifs et que votre manuscrit n’a été jugé que par une seule personne. Si travaillez encore pour améliorer votre texte, vos efforts finiront par payer et vous trouverez un autre éditeur qui l’acceptera.
8 : Continuez à envoyer vos textes aux maisons d’édition
N’espérez pas publier et réaliser votre rêve en gardant votre travail pour vous. Personne ne va venir toquer à votre porte pour vous le réclamer. C’est vous qui devez aller frapper aux portes, jusqu’à ce qu’on vous ouvre.
(Crédit photo : © J. Palut – Fotolia.com)
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