Une étude synthétisée sous forme de graphique révèle les thèmes qui reviennent le plus souvent dans les livres qui concourent cette année au prix anglais du Booker. La mort revient le plus souvent.
Que faut-il écrire pour recevoir un prix littéraire ? Certains thèmes ont-ils plus de chances de faire remporter à son auteur une récompense ? A en croire ce graphique publié par le site Delayed Gratification, les livres sélectionnés pour recevoir le prix anglais Booker comportent quatre grands thèmes.
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Eros et Thanatos
Les thèmes de l’amour et de la mort sont ceux qui reviennent le plus souvent. La mort dépassant largement l’amour. Dans les 13 livres sélectionnés cette année pour prétendre au prix Booker, tous accordent une part importante à la mort. L’amour, en deuxième position, arrive tout de même loin derrière, puisque seulement six des livres présentés abordent ce sujet. L’amour n’est donc jamais dans cette sélection un thème à part entière mais il est toujours associé à la mort.
Des thèmatiques douloureuses
La corruption et la trahison arrivent en troisième position et sont présents chacun dans cinq des livres sélectionnés. Ils sont suivis de très près par la guerre (présente dans quatre livres sur treize), les gangs, le suicide et la fuite (tous présents dans trois des treize livres). Les autres thèmes, qui ne reviennent que dans un ou deux des livres, relèvent également de thématiques très dures et violentes : le cannibalisme, le terrorisme, le totalitarisme, le mensonge… Seuls le jazz et les années collège viennent un peu égayer ce sombre tableau. Ce qui est sûr, c’est que le lauréat de cette année abordera forcément la mort, tout comme celui de 2011 The Sense of an Ending de Julian Barnes, qui traitait de la mort et de la vieillesse.
Et le chèque under ze table ?…La prime du best vendeur ?..La cousine top-model du primé ?…Les vacances communes du prez du jury avec le nominé ?…Le même canard qui emploie le prez et le primé ?…
Je sais, rien qu’un jaloux, aigri, haineux, fielleux et malveillant, je sais…
@ Alain
Nous on a rien dit hein 😉